Présentation de Prosilience

Consultant, pas bureau d’études !

Mon métier principal,,depuis près de 20 ans, c’est d’être consultant…

Ce n’est pas un gros mot : les consultants ont un regard extérieur, ils peuvent se permettre de poser ces questions bêtes qui peuvent tout changer, et ils font profiter leurs clients de l’expérience des autres… Ce métier ne s’est pas remis des critiques qu’on pouvait légitimement lui faire dans les années 80-90, où les consultants étaient un peu déconnectés des réalités opérationnelles des entreprises et des territoires. depuis lors, la profession s’attache, quand la possibilité lui en est donnée, à accompagner opérationnellement ses clients pour la mise en œuvre de ses propositions. Quel meilleur gage de sérieux ?

Connaissances et compétences

J’ai décidé il y a plus de 8 ans de mettre mon expérience de consultant au service du développement durable. J’ai appris, d’abord sur internet et dans des livres, ce que cela signifie ; et ces années d’expérience ont renforcé ma compréhension du sujet. De me forger une vision, d’ordre presque  politique – stratégique en tout cas, pour les entreprises comme pour les territoires. Et de savoir ce que cette vision peu impliquer, concrètement et à court terme ; de savoir comment la mettre en œuvre.

Il faut connaitre son sujet pour être consultant. mais il faut aussi des compétences « métier ». Le cœur de compétence du métier de consultant, c’est :

  • d’abord, l’analyse : comprendre chaque situation.nouvelle, s’imprégner et comprendre assez vite de quoi il retourne,
  • plus important encore, la synthèse : comprendre ce qui est structurant, important, se concentrer sur l’essentiel
  • Mais surtout, savoir convaincre. On ne fait que formuler des idées et des propositions, qui ne servent à rien si elles ne sont pas appliquées.

Décloisonner, encore et toujours

Compétence environnementale , Sociale , Économique ? Auprès des entreprises ou des collectivités locales ?

Pour moi, cela n’aurait pas de sens de choisir. Même si cela rend délicate la lisibilité « marketing » de Prosilience. Parce que l’essence même du développement durable réside dans son caractère transversal. Je persiste donc, je prétends que – même si la majorité des acteurs économiques attendent souvent des spécialistes, experts dans un domaine -, il est nécessaire pour aller dans le sens du développement durable de pouvoir mettre les différents sujets, les différents acteurs, en lien. Petit clin d’œil à l’effet de couleur sur les lettres « lien » du logo de Prosilience.

La transversalité dans les thématiques

C’est à la fois une nécessité, et à la fois lié à mon expérience au sein d’Eclosion et d’Eclosion+ : il n’est pas question pour Prosilience de se spécialiser dans une thématique – bilan carbone, handicap…-. Le niveau de valeur ajoutée de nos prestations s’en ressentirait. Nous continuerons donc à nous investir, avec l’appui de nos partenaires, sur des sujets :

  • Stratégique (économie de fonctionnalité, ISO 26000, agendas 21 locaux…)
  • Environnementaux (énergie / climat, déplacements, biodiversité, écologie industrielle…)
  • Sociaux (diversité, GPEC…)
  • Sociétaux (achats durables, communication responsable…)
  • Organisationnels (structuration du processus DD / RSO, outils de pilotage, outils métiers)

La transversalité dans les clients accompagnés

Quel pilote de plan climat énergie territorial ne regrette pas l’absence des entreprises dans son processus de concertation ? Quel responsable DD / RSO d’entreprise ne regrette pas le manque de lien avec les collectivités territoriales ?

Nous souhaitons favoriser le lien entre ces acteurs. Nous continuerons donc à intervenir après :

  • des entreprises,
  • des collectivités locales,
  • des acteurs institutionnels.

La transversalité dans les modes opératoires

Nos interventions peuvent revêtir plusieurs formes, en fonction de vos besoins :

  • Réalisation d’études (collectivités locales et acteurs institutionnels)
  • Accompagnement (entreprises et collectivités locales)
  • Formation (entreprises et collectivités locales)
  • Ingénierie de projet (acteurs institutionnels principalement)